Exemple et méthodologie du Diagnostic Social et Territorial (DST) en formation assistant de service social et CESF

Vous trouverez dans cet article un exemple de DST qui vous aidera à mieux identifier ce que l’on attend de vous pour cette épreuve.

Bon courage !

Vous rencontrez des difficultés dans la rédaction de vos écrits ou de vos soutenances orales ?

Vous n’avez pas le soutien nécessaire de la part de vos formateurs ?

Vous faites face à des obstacles pour trouver du temps pour élaborer vos dossiers car vous avez une vie de famille ? un travail prenant en parallèle ?

Vous êtes à quelques semaines du rendu final et vous vous dites que ce que vous avez rédigé n’est pas cohérent ?

Vos formateurs ou le jury blanc vous demande sans cesse de modifier vos écrits et vous ne savez plus comment avancer ?

Si vous ne validez pas votre diplôme, vous allez devoir faire face à d’importants enjeux familiaux ou financiers ?

Si vous vous sentez concerné(e) par ces différents obstacles, je vous invite à me contacter.

Je suis Sébastien, expert du secteur médicosocial et mentor des étudiants du social, de l’éducatif, du paramédical, de l’encadrement, licence/master universitaire et des candidats à la VAE (livret 2).

N’attendez plus le dernier moment pour avancer dans vos dossiers et subir le stress de la page blanche ou de la procrastination.

En effet, tout comme vous j’ai été confronté à des études éprouvantes (formation d’assistant social, puis CAFERUIS et master en sociologie des organisations option management et ressources humaines).

J’ai dû travailler en parallèle de ma scolarité mais aussi suivre mes formations alors que j’avais des enfants en bas âge.

Ce sont les freins et le manque que j’ai vécus qui m’ont incité à proposer mes services d’accompagnement.

Ainsi, je vous propose d’en savoir davantage sur mon parcours, mes prestations, la Foire Aux Questions (FAQ) et mes tarifs en cliquant sur les liens suivants (également disponible dans le menu) :

Qui suis-je ?

La Foire Aux Questions (FAQ)

Mon (fabuleux) programme de correction

Mes tarifs

Exemple et méthodologie du DST au DEASS (méthodologie applicable aux étudiants CESF)

Le diagnostic social et territorial ou synthèse de terrain définie comme étant une question qui se pose au sein d’un territoire d’intervention sur le lieu du stage. L’étudiant doit ainsi être en capacité d’identifier un phénomène et d’apporter une réflexion sur le sujet choisi (prévention des expulsions, violences conjugales, décrochage scolaire, fin de prise en charge des jeunes en situation de handicap, etc.).

Ainsi, l’étudiant apporte plusieurs questionnements relatifs au public étudié et à la problématique sociale repérée en rendant compte de ses recherches à travers des données théoriques, chiffrées ainsi qu’en proposant une analyse pertinente de la thématique abordée. De ce fait, l’étudiant doit mettre en lumière les enjeux professionnels de son diagnostic social et territorial pour espérer valider son épreuve.

LE DIAGNOSTIC SOCIAL ET TERRITORIAL AU DEASS ET DECESF : MODALITÉS DE CERTIFICATION POUR LA SYNTHÈSE DE TERRAIN

Il s’agit d’un document de synthèse de terrain qui prend la forme d’un écrit individuel sur lequel doit figurer le destinataire de cette problématique sociale. En effet, le but de cet exercice est de vous permettre, après avoir élaboré votre réflexion que vous aurez croisée à la recherche théorique, de présenter cette note à un membre de l’équipe du lieu où vous réalisez votre stage (des animateurs, des secrétaires, de la direction, des travailleurs sociaux, etc.)

Précisions sur la forme du diagnostic social et territorial au DEASS

  • Le dossier doit être paginé, Times New Roman, police 12, Interligne 1.5 (habituez-vous à ce style car on vous demandera la même forme pour le mémoire de recherche au DC2.
  • Une page de garde sur laquelle figure votre nom, prénom, centre de formation, lieu du stage, le titre, la promotion et la certification « diagnostic social et territorial ».
  • Une page d’énoncé de la situation, comme pour l’Intervention Sociale d’Aide à la Personne (ISAP)
  • Pas plus de 5 annexes

Précisions sur le fond du diagnostic social et territorial au DEASS

  • L’écrit doit faire aux alentours de 10/12 pages (suivez les consignes de votre école)
  • La synthèse doit comporter une introduction, l’annonce de la problématique ou question centrale, un développement en deux ou trois parties (attention aux titres et aux transitions) et enfin une conclusion qui met en évidence les apports de ce travail sur vos connaissances et votre pratique professionnelle.
  • Je vous propose plus bas un exemple de diagnostic social et territorial rédigé par une étudiante qui a validé haut la main son épreuve au DC2.

Bon courage !

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UN EXEMPLE PARTIEL DE DIAGNOSTIC SOCIAL ET TERRITORIAL RÉALISÉ DANS UN CENTRE SOCIAL SUR LE THÈME DU DÉCROCHAGE SCOLAIRE

Introduction de la problématique sociale

Bonjour, je suis Madame X je suis étudiante en deuxième année de formation préparant au DEASS. Me concernant, j’ai réalisé mon stage de deuxième année dans une structure associative créée en 1979. Cette association a obtenu l’agrément centre social par la Caisse d’Allocation Familiales (CAF) en 2001 et propose aux habitants de ce quartier du 18ème arrondissement de Paris un accueil global. Ce sont ainsi plus de 2000 personne, de tout âge, qui sollicitent chaque année l’association afin d’être soutenues aussi bien au niveau individuel que collectif à travers la mise en place d’une permanence sociale, d’atelier sociolinguistiques, des ateliers de socialisation, des actions de formation ou encore du soutien à la parentalité. Pour mener à bien ces missions, la structure est composée de salariés ainsi que de bénévoles.


Me concernant, en évoluant au sein de cette structure j’ai pu appréhender les différents services qu’elle propose à la population locale ce qui m’a permis d’identifier plusieurs questions sociales qui se posent aussi bien au niveau institutionnel qu’au regard des individus. Dans le cadre de ce dossier documentaire et de cette soutenance orale j’ai choisi de mettre en lumière la problématique du décrochage scolaire chez les jeunes et plus particulièrement chez les adolescents scolarisés au collège.

En effet, au cours des rencontres faites avec ce public ainsi que des échanges que j’ai eus avec l’équipe salariée et bénévoles j’ai constaté qu’un grand nombre de ces jeunes étaient ou pouvaient être décrocheurs. Cette situation se caractérisait par l’apparition de premiers signes avant-coureurs tels que des résultats scolaires qui fléchissent, un sentiment d’incompréhension, d’humiliation de voire de rejet de l’enseignement ou encore de l’ennui en classe. En parallèle, j’ai également constaté la présence de jeunes qui sortait du système scolaire sans le brevet des collèges donc sans diplôme avec aucune orientation possible à l’issue de la classe de troisième.

C’est pourquoi dans ce contexte l’association propose des ateliers d’aides aux devoirs mais aussi des activités à l’extérieur basés sur le sport, la culture et les loisirs afin de favoriser l’ouverture d’esprit chez ces jeunes mais aussi de les amener à regagner confiance en leurs capacité. En effet, il s’avère que les difficultés qu’ils ressentent au sein de l’institution scolaire a pu impacter négativement leur estime de soi et l’image qu’ils ont d’eux-mêmes.

Ainsi à l’issue de ces constats et de mon cheminement j’ai fait le choix de poser la problématique suivante :

Dans quelle mesure les initiatives portées par l’association basées sur l’insertion par le sport, la culture et les loisirs peuvent constituer un travail de prévention en matière de lutte contre le décrochage scolaire chez les jeunes collégiens du territoire ?

A travers cette interrogation centrale qui a servi de fil conducteur à la constitution de mon dossier documentaire je souhaite démontrer que les activités extra scolaires basées sur la culture, le sport et les loisirs peuvent favoriser le regain d’estime de soi chez ces jeunes en risque de décrochage scolaire.

Par conséquent, dans le cadre de cet exposé oral, l’exploration de cette question sociale est organisée en quatre axes.

Le premier met en lumière l’origine des motivations qui m’ont amenée à m’intéresser à cette question sociale. Le deuxième, présente la façon dont j’ai construit mon dossier documentaire en m’appuyant sur des sources sociologiques, juridiques ou économiques. J’aborderai également certaines difficultés que j’ai pu rencontrer dans la structuration de ce travail de recherche. Le troisième axe, quant à lui, met en évidence la façon dont la constitution de ce corpus documentaire m’a permis d’éclairer la question sociale posée tout en m’amenant à déconstruire certaines représentations de cette thématique. Enfin, le quatrième axe aborde les perspectives données à ce travail en clarifiant dans quelle mesure il constitue un enjeu professionnel cohérent à prendre en compte dans la pratique professionnelle des animateurs chargés de mettre en place ces interventions auprès des jeunes.

1 L’origine de la question sociale relative au décrochage scolaire

Les éléments que j’ai évoqués en début de soutenance m’ont particulièrement interrogée parce que de façon récurrente j’étais amenée à échanger aussi bien avec les jeunes concernés par le décrochage scolaire qu’avec les parents. Je me rendais compte du profond désarroi de ces derniers qui avaient tenté coute que coute de soutenir leurs enfants dans la scolarité.

Cependant, il apparait aussi que certains parents rencontrent des difficultés dans la lecture et l’écriture ce qui ne leur permet difficilement d’être des personnes ressources et c’est d’ailleurs pour cela qu’ils ont sollicité l’association qui propose des ateliers individuels et collectifs d’aide aux devoir. Ainsi, en échangeant avec les animateurs de ces ateliers j’ai saisi que le soutien proposé était centré sur la scolarité au sens stricte mais qu’en parallèle des initiatives innovantes étaient organisée par l’association à savoir le développement d’activités sportives, culturelles et de loisirs. Ces actions m’ont été décrites par la directrice du centre social comme étant un prolongement de l’aide aux devoirs réalisé au sein des locaux et que ces activités permettaient aux jeunes de se découvrir des passions, de participer à des projets et de développer une forme de confiance en leurs capacités. En effet, les jeunes susceptibles de décrocher sont parfois stigmatisés à l’école et de ce fait progressivement l’estime qu’ils ont d’eux-mêmes régresse.

Ainsi, ces activités permettent justement de favoriser la confiance en soi chez ces jeunes parfois à l’écart du système scolaire auquel ils ne parviennent pas à s’identifier.
Ce sont finalement tous ces éléments qui m’ont amenée à développer l’exploration de cette question sociale. Cependant, je ne pouvais pas rester positionnée sur des constats et des ressentis. En effet, j’avais conscience que les jeunes en situation de décrochage ainsi que les parents pouvaient être en souffrance par rapport à cette problématique qui fragilise de façon évidence les chances d’insertion professionnelle de ce public toutefois je souhaitais aussi aller plus loin dans la compréhension du sujet. C’est pourquoi je vais vous présenter le deuxième axe de cette soutenance qui repose sur des recherches documentaires visant à m’aider à mieux appréhender cette question sociale.

2 L’exploitation des documents et les difficultés rencontrées

Lorsque j’ai recherché les documents relatifs à cette question sociale, j’ai eu l’opportunité de découvrir une diversité d’articles et d’études qui permettent de mieux cerner les contours du décrochage scolaire. Pour ce faire, je me suis attachée à adopter une démarche rigoureuse qui visait à orienter mon investigation sur des sources fiables et objectives. En effet, je ne souhaitais pas que mon analyse soit influencée voire biaisée par des partis-pris qui auraient entaché l’appréhension du sujet.

Cependant, malgré une certaine facilité à trouver des documents nationaux qui démontrent que la question du décrochage scolaire est largement couverte aussi bien par les pouvoirs publics que le législateur, je me suis rendu compte, à l’inverse, que les initiatives locales similaires à celles développées par l’association où je réalise mon stage n’ont pas de fortes visibilités.

L’explication qui me parait la plus plausible repose selon moi d’une part par des difficultés pour les associations à mettre en œuvre ce type d’activités extra scolaires. En effet, bien que ces actions soient riches de sens et prometteuses pour les jeunes concernés, j’ai surtout mesuré qu’elles nécessitaient des moyens humains importants à mobiliser. Aussi, nous savons que les associations peuvent peiner à se voir attribuer des subventions ce qui les amènent à de voir injecter leur budget des actions peut être prioritaires à celles-ci. D’autres parts, l’autre explication qui peut clarifier le manque de documentation relatif à ce type d’action peut être liée à l’absence de mises en valeurs de ces actions qui, même si elles existent, ne font pas forcément l’objet d’un traitement médiatique.

Je viens dans cette partie d’exposer la façon dont j’ai mené à bien ma recherche et les difficultés que j’ai pu rencontrer, à présent, je souhaite vous présenter les apports de mon investigation aussi bien sur mes connaissances que sur la façon dont j’appréhende à présent cette question sociale.

3 Les apports du corpus documentaire dans la compréhension de la problématique sociale

Comme je le disais précédemment, j’avais le sentiment que la thématique du décrochage scolaire et des solutions basées sur le déploiement d’activités sportives, culturelles et de loisirs par les animateurs pour les jeunes concernés favorisaient un mieux-être qui se répercutait indéniablement sur la scolarité. Cependant, je manquais fortement de connaissances théoriques et c’est d’ailleurs cette investigation documentaire qui m’a permis de définir de façon précise les notions inhérentes à la question du décrochage.
A ce titre, j’ai découvert que décrochage scolaire constitue un enjeu sociétal important dans la mesure où l’école fabrique les citoyens de demain et conditionne l’insertion professionnelle des jeunes. En 1997, Thierry Lambillote et Dominique Leclercq , deux chercheurs scientifiques du Ministère de la communauté française à Bruxelles, présentaient le décrochage scolaire comme « un processus progressif de désintérêt de l’école, fruit d’une accumulation de facteurs internes et externes au système scolaire ».

En France décrochage scolaire est défini par le Ministère de l’Education nationale comme étant « un processus qui conduit un jeune à se détacher du système de formation initiale jusqu’à le quitter sans avoir obtenu un diplôme ». Ainsi, en abordant ce phénomène sous l’angle d’un processus il est possible de le rattacher à une succession d’évènements amenant progressivement les jeunes vers le décrochage

La thématique du décrochage renvoie directement à la question de l’insertion sociale et professionnelle de ces jeunes. En effet, aujourd’hui, il en existe encore qui quittent le système scolaire et notamment le collège sans n’avoir obtenu ni diplômes, ni qualifications. C’est devant la forte croissance du chômage des jeunes que les politiciens ont désigné, en 1970, le décrochage scolaire comme problème social. Najat VALLAUD-BELKACEM, ancienne ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a d’ailleurs lancé, le 21 novembre 2014, un plan d’action national nommé : « Tous mobilisés pour vaincre le décrochage scolaire ». 

Au plan légal, le décrochage scolaire est donc visé par de nombreux textes. Concrètement, il désigne les jeunes ayant interrompu un système de formation initiale sans avoir obtenu de diplôme de niveau V ou de niveau supérieur. En effet, dans un rapport de 2013, la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) de l’Education nationale a estimé que 140 000 jeunes sortaient chaque année du système scolaire soit 17 % d’une classe d’âge . Les résultats du plan d’action lancé en 2014 sont encourageants puisque les dernières données statistiques publiées par le CNESCO (Conseil national d’évaluation du système scolaire) démontrent qu’en 2016 ce ne sont plus 140 000 jeunes mais 110 000 qui sont concernés soit près d’un jeune sur cinq et une baisse d’environ 20 %.

En résumé, il est possible de comprendre que la recherche de solutions permettant de renverser le décrochage scolaire est une priorité nationale. En effet, le gouvernement a conscience que l’obtention d’un diplôme est fondamental dans l’insertion professionnelle mais aussi dans l’intégration dans la société.

Ainsi, je viens de démontrer en quoi ce corpus documentaire m’a permis d’éclairer mes connaissances et de déconstruire mes représentations sociales du sujet. De ce fait, je vais à présent finaliser cette soutenance en mettant en lumière les enjeux inhérents de cette problématique et le mode de diffusion que je souhaite adopter auprès de ma structure de stage et plus particulièrement des animateurs chargés de la mise en place de ces activités.

4 Les perspectives pour la pratique professionnelle en lien avec la problématique sociale

En conséquence, tous ces constats ont suscité chez moi un vif intérêt pour ce sujet que j’ai souhaité appréhender dans le cadre de cette épreuve. Ainsi, selon moi, le fait de m’interroger sur d’une part les facteurs multidimensionnels du décrochage scolaire et d’autre part, sur les initiatives locales qui visent à enrayer ce phénomène constitue un intérêt professionnel évident.

En effet, en tant que future assistante de service social, je serai amenée à mettre en œuvre des missions relatives à la prévention et la protection de l’enfance. De ce fait, la question du décrochage scolaire et de ses répercussions sur le plan individuel du jeune seront à mobiliser et analyser sous un angle multidimensionnel et systémique.

De plus, l’un de mes objectifs dans le cadre de cette problématique sociale est de comprendre comment sont détectées ces situations de décrochage et la façon dont les acteurs du territoire mettent en place des actions coordonnées.

Cette connaissance du sujet me permettrait de pouvoir mutualiser mes connaissances avec les membres de l’équipe de la structure associative ainsi que de présenter mes recherches en réunion d’équipe et plus particulièrement aux animateurs qui sont en première ligne dans l’application de ces actions auprès des jeunes en situation de décrochage.

J’espère que cet exemple partiel du diagnostic social et territorial vous a permis de surmonter les difficultés que vous rencontriez peut-être. Si vous souhaitez obtenir davantage de renseignement sur la méthodologie de cette épreuve n’hésitez pas à me contacter.

9 réponses à “Exemple et méthodologie du Diagnostic Social et Territorial (DST) en formation assistant de service social et CESF”

  1. Bonjour,

    Je rencontre beaucoup de difficultés par rapport à la rédaction de mon Diagnostic Social Territorial.

    Je voulais savoir si quelqu’un aurait un plan type à suivre par rapport à cette rédaction, ou même si quelqu’un aurait la gentillesse de me partager son écrit afin que je puisse le lire ?

    Je vous remercie par avance, vos informations me seront précieuses.

    Etudiante ASS 2ème année

  2. Bonjour je suis étudiante ASS en deuxième année.
    Nous devons préparer la certif dc2 du diagnostic social départementale.
    Je vous remercie pour votre article, cela m’éclaire et m’aide à mieux préparer la certification.

    Bien cordialement

  3. Bonjour je suis un étudiant en 1ère année de ass j’ai dumal à rédiger le partie de présentation et analyse danalyse de résultats quelqu’un pourrait m’aide
    r

    • Bonjour, si vous le souhaitez vous pouvez me transmettre par mail votre sujet et ce que vous avez rédigé à ce jour. Je lirai votre travail et je vous ferai un retour.

      Bien cordialement

  4. Bonjour, je rencontre des difficultés pour la rédaction de mon diagnostic social de territoire. je ne me sens pas vraiment aidé par l’école. Est ce que vous auriez un plan type ? ou une aide a m’apporter pour les analyses des données ?

    Merci

  5. Bonjour j’ai pris connaissance de votre exemple sur le DST cependant ça m’aide un tout petit peu car je suis en formation d’ASS en première année et on doit réaliser un travail de DST collectif et individuel par la suite sur l’émergence (trouver des outils) de la parole donnée aux jeunes placés en MECS en rapport avec l’ODPE.
    J’ai beaucoup d’idées recensées mais je n’arrive pas à savoir comment les structurer, quoi écrire et ne pas écrire??? Malgré le plan type donné par l’école, je suis perdue.
    Merci 🙏🏽 beaucoup pour votre aide
    Cordialement

    • Bonjour
      Bien sûr je vous propose de me contacter via whatsapp ou par mail
      Ainsi, nous pourrons échanger
      Bien cordialement
      Sébastien

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